Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

La Macif, groupe capitaliste mafieux

28 juin 2011

BGH attaque la Macif au PENAL

  •  

 

Le prestataire BGH attaque la mutuelle d'assurances Macif au pénal

Le 27 juin 2011 par JEAN-CHRISTOPHE BARLA, À SALON-DE-PROVENCE

Acteurs

Mots clés : Macif, Réparation, concurrence , Plainte

 

 

Après avoir attaqué la Macif devant le tribunal de commerce de Marseille pour « concurrence déloyale », la société provençale BGH vient de faire appel au célèbre avocat, Me Gilbert Collard. BGH aurait déposé une plainte mi-avril auprès du procureur de la République de Marseille contre la mutuelle. Gilbert Berros, le PDG de BGH, l’accuse de lui avoir « pillé » sans jamais l’avoir payé son concept de réparation en nature des sinistres habitation. Le dirigeant affirme avoir imaginé ce service en 1994, puis l'avoir mis en place et exploité durant près de 13 ans pour le compte de la Macif, avant que celle-ci ne reprenne en 2007 l’idée avec Inter-Mutuelles Habitat (IMH), entraînant pour BGH l’effondrement de son activité, sa mise en redressement judiciaire en 2009 et le licenciement de ses 93 salariés (dont les deux-tiers d'experts).

 

Juge d'instruction

 

Faute d’avoir eu depuis des nouvelles de l’avancée de la procédure, Gilbert Berros et Me Collard ont annoncé ce 27 juin vouloir se constituer partie civile dans les prochains jours « afin qu’un juge d’instruction recherche tous les éléments qui pourront caractériser dans ce dossier l’abus de confiance de la Macif et le recel d’abus de confiance d’IMH. Nous pourrons également solliciter des actes, des auditions… et savoir ce qui se passe, se dit et se fait ». Gilbert Berros et son avocat ont conscience que cette procédure pourrait durer longtemps. Mais ils semblent déterminés à la mener jusqu’au bout pour obtenir gain de cause.

 

Procédure longue

 

Quant à la procédure visant la concurrence déloyale, elle reste portée par l’avocat marseillais Me Patrice Galvan. « A ce jour, la Macif n’a pas présenté ses conclusions. Soit elle est très confiante, soit elle est inconsciente », estime Me Galvan en indiquant que ce dossier pourrait être plaidé au printemps prochain. Pour l’heure, la Macif n’a pas souhaité réagir, dans l’attente d’informations complémentaires sur les actions engagées par BGH.


Jean-Christophe Barla, à Marseille
 

Publicité
Publicité
22 juin 2011

mutuelle des renégats

 

Conférence de Presse BGH SAS Lundi 27 juin 2011 à Marseille avec Mt Gilbert COLLARD

 

                                                                 Restaurant Le Quai, 37 quai des Belges, MARSEILLE 13001.

 

 

 

 

MACIF : LA MUTUELLE DES RENEGATS

ASSOCIATION DE PROFITEURS ET SPOLIATEURS

 

 

Résultats nets 2010= 200 Millions d’euros

Résultats nets 2009= 5     Millions d’euros

Une progression de 4000% en 1 année, sous peu la Macif pourra prétendre à intégrer le CAC 40 !

La Macif, on le voit, a bien intégré le système capitaliste.

Des reniements idéologiques en cascade au fil du temps, la Macif est devenue « sui generis » un parfait agent du système capitaliste, un organisme générateur de profits financiers de plus en plus colossaux.

Est-ce qu’à l’issue de ces résultats, la Macif a annoncé une baisse des tarifs de police d’assurance à ses sociétaires ?

Non, du tout mais par contre elle a programmé une nouvelle hausse des salaires, déjà bien hauts (entre 20 et 30000 euros mensuels) de ses dirigeants.

Normal quand on veut devenir calife à la place du calife !

La Macif, très dure et très rigoureuse avec ses sociétaires, est proportionnellement très généreuse à l’égard de ses dirigeants, car au-delà des salaires vertigineux, primes, les bonus et jetons de présence se bousculent dans leurs portefeuilles.

Ils sont désormais bien loin de leurs idéaux sociaux de base qui, à la libération, ont généré la création de la Macif et d’autres Mutuelles.

Il est vrai que les dirigeants actuels comme les fondateurs ont tous encore des appartenances croisées aux partis politique de gauche (PS, PCF) aux syndicats (CGT, CFDT, FO, etc..) et à la Franc-Maçonnerie.

Cela reste pour rendre la façade encore honorable.

Mais demandez des comptes à tous les dirigeants de la Macif, salaires, primes, avantages en nature, voitures de fonction et là vous serez très surpris.

La ligne directrice pour eux est :

« Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais »

Ils sont dans le double langage permanent.

C’est de cette façon qu’ils ont pu tromper et trompent encore, non seulement leurs sociétaires, mais également la plupart de leurs petits prestataires de services qui ont conçu et élaboré toutes les solutions socio-technico-économiques que la Macif propose à ses sociétaires.

Aussi, à ce jour, la Macif a spolié plusieurs dizaines de petites entreprises en France, telle la société BGH SAS installée à la CIOTAT dirigée par Gilbert BERROS qui employait plus de 90 salariés.

La Macif, s’étant emparée de tout son savoir faire, celui-ci s’est alors retrouvé spolié et a du mettre au chômage la centaine de salariés.

Voila l’approche sociale très consciente de la direction de la Macif qui se retrouve en procès avec plusieurs de ses anciens prestataires.

Et comment aussi ne pas évoquer les suicides de collaborateurs de la Macif face aux reniements sociaux et idéologiques qu’elle leur impose.

Oui, c’est cela la Macif, une entreprise de renégats qui ne s’intéressent plus qu’au profit au détournement de l’histoire sociale du mouvement ouvrier français, des valeurs de progrès des hommes et des petites gens qui les incarnent.

Elle est devenue sans foi ni loi, sauf pour remplir les poches de ses dirigeants.

C’est de cette façon que l’on peut également comprendre pourquoi aujourd’hui nous avons tant d’abstention lors des élections politiques en France. Les citoyens, gens de gauche, refusent de continuer à voter pour cette gauche caviar, ces bobos qui sont devenus de véritables escrocs politiques, et dont le seul credo consiste dans le remplissage de leurs poches.

Le lundi 27 juin 2011 à 11hOO, Maître Gilbert COLLARD, avocat de la SAS BGH répondra aux questions de la Presse concernant cette affaire judiciaire qui ne fait que commencer.

Restaurant Le Quai, 37 quai des Belges, MARSEILLE 13001.

 

La Direction de la SAS BGH.

 

 

 

8 juin 2011

La Macif, groupe capitaliste mafieux.

La Macif, société d’économie « SOCIALE » ?

Ou bien groupe capitaliste mafieux.

 

Dans le cadre de la spoliation subie par la société BGH, il faut savoir qu’initialement la Macif avait signé un protocole de reprise des sociétés SRC en Pro/Med et dans l’Est de la France, avec bien entendu tout son personnel, soit 93 personnes.

Avant même de signer cet accord les représentants de la Macif se sont rendus dans les différents sites de SRC, Strasbourg, La Ciotat, etc. pour rencontrer les collaborateurs et leurs faire part des tractations avec leur direction leur faisant miroiter l’intégration dans la nouvelle structure qu’ils allaient créer à savoir IMH. En fait, ils ont piraté tous les systèmes de BGH par leurs audits à répétition, et même auprès des collaborateurs SRC.

Bien entendu, comme le dirigeant de BGH, les collaborateurs du groupe se sont mit à rêver d’un développement national, avec toutes les perspectives de carrières s’offrant à eux. Ils ont tous fait confiance à cette époque à la Macif qu’ils croyaient honnête.

2 réunions ont eu lieu, la première à la CIOTAT et la seconde à Strasbourg avec l’ensemble du personnel venu de Nice, Besançon, Montpellier etc. animées par le Directeur Général-adjoint de la MACIF ainsi que le représentant de la direction d’IMA. Les collaborateurs ont posé toutes les questions possible et surtout sur leur avenir.

Ils ont eu comme réponse que la totalité du personnel serai reprise, qu’ils soient sur site, Marseille et Strasbourg, ou non.

Pour ceux qui ne résidaient pas sur ces deux sites, des propositions de télétravail leur seraient proposé.

Résultat :

Une trentaine de collaborateurs se sont vu proposer un emploi dans cette nouvelle structure.

Une seule proposition de télétravail proposé sur plusieurs demandés.

Un vingtaine de prud’hommes actifs. Plusieurs condamnations contre la Macif ont été prononcé.

À ce jour en 2011 93 emplois détruits.

93 familles sur le carreau. Misère, chômage, paupérisation ont été organisés par la Macif, structure soi-disant sociale pour ces 93 familles.

La Macif a dans cette opération montré son véritable visage, celui d’une structure d’origine ouvrière passée définitivement dans le camp du capitalisme.

Elle n’a pas hésité en fait à utiliser les méthodes de voyous et de gangstérisme du capital.

Une seule personne Ex-SRC reste dans les listes du personnel IMH.

 

Merci la Macif

 

 

 

 

 

8 juin 2011

L’APPETIT DES GRANDS N’EPARGNE PAS L’ECONOMIE SOCIALE

 

 

MACIF : Transparence ou Opacité ?

Sociale ou antisociale ?

La MACIF, l’expert en spoliation.

 

L’APPETIT DES GRANDS N’EPARGNE PAS L’ECONOMIE SOCIALE

Les Faits :

En 1995, une grande Mutuelle d’assurance, la MACIF Provence Méditerranée pour ne pas la nommer, signe avec une entreprise marseillaise, un contrat de partenariat destiné à la gestion d’une partie de la sinistralité habitation de ses sociétaires. Concept innovant, totalement imaginé et mis en place par un chef d’entreprise marseillais, le Service Réparation Confiance (SRC) permettait à un assuré MACIF, subissant un sinistre dans son habitation d’opter pour l’intervention d’une équipe de réparateurs habilités MACIF, le tiers payant leur permettant de ne plus faire l’avance du montant des réparations. Et surtout, SRC apportait une garantie quant à la réalisation des travaux, qui étaient opérés sous son contrôle et donc celui de la MACIF.

 Le Service Réparation Confiance connut rapidement une réussite très importante, puisque systématiquement questionné. Plus de 94% des assurés se reconnaissaient satisfaits du service SRC, qui n’existait que dans la région PACA. Ce succès, s’étendit 5 ans plus tard, le 1 janvier 2000, à la région Est. Les responsables locaux ayant souhaité bénéficier du système SRC, qui tout en permettant de satisfaire les assurés, et donc d’accroître les parts de marché,avait permis à la MACIF, de réaliser plus de 2,5 million d’euros d’économiesur la prise en charge des sinistres en PACA uniquement.

 En effet, le système SRC permettait à plus de 850 entrepreneurs régionaux de tous corps d’état du bâtiment, tous signataires d’une charte de qualité et de tarifs de prestations pour réaliser un travail régulier et de qualité pour la Macif. Fort de ces réussites régionales, le dirigeant de SRC, sous l’impulsion des directeurs régionaux Macif de l’époque présenta son concept à plusieurs autres régions, afin de couvrir la France entière, car la Macif ne souhaitait pas que le concept soit aussi exploité par ses concurrents.

Là sans doute, ce fut le début de la fin, quant on sait comme les puissants rechignent à partager leur festin. Le dirigeant de SRC se heurta à des hésitations, des réflexions malgré les résultats plus que satisfaisant des deux régions qu’il gérait pour la MACIF. Ces hésitations, étaient les prémices d’une stratégie bien réfléchie, dont le service juridique de la MACIF national allait se faire le bras armé. Ne pouvant laisser SRC croître, il fallait se l’accaparer !

 Dès lors, la force du puissant se mit à fonctionner en 2007, un prix fut décidé par la MACIF et présenté au dirigeant de SRC. Inutile de préciser que l’offre n’était pas négociable. Le Service Réparation Confiance avait été initié avec la MACIF, elle décidait de le récupérer. Un protocole de cession, établissant le prix et les conditions fixés par la MACIF fut signé. L’histoire aurait pu se terminer là, le Groupe SRC aurait été repris par la MACIF, le gros poisson mangeant le petit.

 Mais il s’avéra que les stratèges de la MACIF, tout puissant qu’ils s’estimaient devant le peu d’opposition de SRC, préférèrent reprendre l’activité, sans la payer. Ainsi le protocole de cession fut rompu, au motif que les comptes sociaux n’étaient pas satisfaisant ! Cet argument prêtant à sourire quant on sait quedepuis plus de 10 ans les comptes de SRC étaient audités par un cabinet indépendant, désigné et payé par la MACIF, et qu’à aucun moment, ces rapports ne laissaient place à un quelconque doute sur la qualité des comptes et de la gestion.

 Enfin, point d’orgue de cette stratégie « d’acquisition », la MACIF qui aurait pu laisser les sociétés SRC continuer leurs activités, rompt sans préavis en avril 2007 les contrats qui la liaient aux sociétés SRC, propulsant ces sociétés à la faillite et ses 93 salariés au chômage. Le dirigeant de SRC à terre, il suffisait de porter l’estocade finale en obtenant une transaction à vil prix et d’enterrer définitivement avec cette affaire les sociétés SRC et leur dirigeant, désormais contraint par un engagement de non concurrence.

 Actuellement, la MACIF exploite pour son compte le Service Réparation Confiance, sans bourse déliée. Les sociétés SRC sont quant à elles en procédure de redressement judiciaire, la totalité des 93 personnes du groupe a été licenciée, à l’exception de quelques unes d’entre elles reprises par la MACIF.

14 prud’hommes sont encore actifs, contre la MACIF mais aussi contre les sociétés SRC. Aujourd’hui, la MACIF fait l’objet d’une assignation par devant le Tribunal de Commerce de Marseille, diligentée par le Représentant des créanciers des sociétés SRC en redressement judiciaire, qui entend mettre à la charge de la MACIF les 2,5 millions d’euros de passif de ces sociétés.

Avec la faillite de son groupe, le dirigeant des sociétés SRC, déplore l’effondrement des valeurs mutualistes qui l’avait amené à créer le Service Réparation Confiance, au sein de la MACIF. Ce service qui avait avant tout pour objectif d’apporter le meilleur service possible aux assurés, s’était avéré très satisfaisant pour les assurés mutualistes et très fructueux pour la MACIF, dont l’appétit financier en sonnera le glas.

Aujourd’hui, le dirigeant des sociétés SRC, fait pleinement confiance aux tribunaux de notre pays, pour que justice lui soit rendu et que les abus des puissants soient fermement sanctionnés.

Est-ce cela une structure Mutualiste ?

Est-ce cela son but ?

Quid de l’esprit social et de l’économie sociale ?

 

 

Publicité
Publicité
La Macif, groupe capitaliste mafieux
  • La Macif, société d’économie « SOCIALE » ? Ou bien groupe capitaliste mafieux. Dans le cadre de la spoliation subie par la société BGH, il faut savoir qu’initialement la Macif avait signé un protocole de reprise des sociétés SRC en Pro/Med et da
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Publicité